22/10/2013

Un Zippo économique

Un briquet Zippo, pour beaucoup de gens, est un briquet de luxe.
A mon humble avis, c'est totalement faux: pour un fumeur, une moyenne de 2 briquets "Bic" par mois est envisageable et même raisonnable. Et ce, non pas parce que ceux-ci sont usés, mais parce qu'ils ont été perdus, cassés, volés.
Mais soyons bien d'accord: avoir 500 briquets "Bic" de réserve chez soi, c'est une très bonne idée, c'est le seul briquet pouvant garantir ~ 5000 allumages à  un prix dérisoire, ce qui en fait un outil "perdable" ou "oubliable" sans trop de regrets. C'est un outil très efficace, à condition qu'on puisse en avoir plusieurs à sa disposition.


Mes Zippos.


Mais rien n'empêche l'achat d'un Zippo en parallèle d'une réserve de "Bics". Lui, il se garde une vie entière, et vous pourrez le léguer à vos gamins. Chacune de ses pièces est remplaçable, et avec un entretien hebdomadaire de 2 minutes il durera sans faillir aussi longtemps que vous le garderez. De plus, il est garanti à vie par Zippo (sauf pour les dommages esthétiques). C'est LE briquet que j'ai toujours sur moi, au même titre que mon Douk ou mon portable. Il s'allume dans le vent, sous la pluie, la tête en bas. On peut le laisser allumer sans rien avoir à faire. Il peut tourner à l'essence (recommandé... ;) ), à la gnôle, au diesel, tout liquide pouvant crâmer peut lui servir de carburant. De par son côté "objet fétiche", on ne le perd jamais (ou si peu). En revanche, on peut toujours vous le voler, mais si vous êtes attaché au vôtre comme moi au miens, c'est le voleur qui pleurera !
Ses trois seuls défauts sont les suivants: il attise les convoitises des connards; il nécessite un entretien régulier (qui reste très sommaire); et il n'est pas étanche.

L'entretien n'est composé que (généralement) de l'ajout d'essence (entre une et deux semaines), du changement de pierre à feu (deux mois au moins), puis du "tirage" de la mèche (trois mois au moins, le remplacement total de la mèche étant très rare, en 4 ans je ne l'ai jamais fait).
Notons aussi que le problème d'étanchéité peut se résoudre facilement par un bout de chambre à air par-dessus. Mais bon, c'est moche, alors à part lors d'une activité à risque ça n'a pas grand intérêt.

Donc, pour une trentaine d'euros, vous aurez un briquet véritablement efficace, durable, fiable, beau (à mon goût), économique, et puis, bon, aussi, faut l'avouer, c'est la classe. Pas la même qu'un Dupont, mais la classe quand même. ;)

Pour ceux qui ne seraient toujours pas convaincus, je vous dirai que les soldats de l'armée US l'ont toujours en dotation dans leur paquetage. Et puis, rien n'empêche d'avoir quelques "Bics" à la maison pour le seconder en cas de coup dur.


Non, le Zippo en lui-même est tout à fait économique, pour peu qu'on ne recherche pas désespérément à consommer à tout prix (auquel cas les jetables multicolores sont bien plus indiqués). En revanche, l'essence, elle, revient vite cher.
J'ai personnellement trouvé la parade: employer de l'essence F en lieu et place de l'essence certifiée Zippo. La F cumule plusieurs avantages: moins volatile, elle dure plus longtemps, on la trouve en quantité bien plus importante, on peut l'employer pour autre chose, et, surtout, elle est beaucoup, beaucoup, moins cher. Je conserve mon petit bidon d'essence Zippo uniquement lorsque je pars en voyage (en théorie, vu la taille du machin, y en a pour entre un et deux mois de recharge, je pense).
La bouteille d'1L d'essence F, trouvable en toute bonne quincaillerie, reste à la maison et sert chaque semaine à abreuver mon Zippo (ça dure en moyenne 3 mois, en l'utilisant de temps à autres pour autre chose).


L'essence F permet de réaliser de très nettes économies sans une véritable baisse de qualité du carburant.


Ce qui est sûr, c'est que l'essence F permet de réaliser de belles économies, et sans saloper le briquet. Alors pourquoi se priver ?




 
Solution toute conne, un p'tit étui de pierres à feu scotché à l'arrière du bidon.








20/10/2013

Vous avez dit cafe racer ?

J'adore les motos, j'en suis un fervent adepte, et, si il y a bien UN style de moto devant lequel je tombe régulièrement en admiration, c'est bien les cafe racers, et en particulier les scramblers.
Ces motos, souvent anciennes, complètement dépouillées, ont un look vintage inimitable, en plus de posséder un véritable "caractère moteur", en comparaison de ce qui se fait aujourd'hui (souvent dû au fait qu'avant 2003, la plupart des motos étaient à carbu et non à injection).

 Cafe Racer BMW. Photo The Bike Shed.

Depuis un ou deux ans, le phénomène "cafe racer", si il reste encore assez confidentiel, tend à se démocratiser. C'est malheureusement souvent sous une forme quelque peu "bobo", mais il est tout à fait possible de rouler en cafe racer sans trop de moyens, en bricolant bien ça peut même revenir moins cher qu'une bécane neuve.

Mais qu'est-ce qu'un cafe racer ? Une moto simple, dépouillée, au moteur poussé, conçue pour aller de bar en bar le plus vite possible, le temps d'une chanson au juke-box, idéalement en atteignant le "ton", soit 160 km/h (d'où ce nom de "cafe racer"). Les occupations favorites des jeunes anglais motocyclistes durant les 60's, qu'on appelait "Rockers", était donc la "course de café", le rock'n roll, et, d'une manière générale, la rébellion permanente face à "l'ordre établi".
Le scrambler, lui, est la version tout-terrain du cafe racer. Le guidon se rapproche d'un guidon cross, les pneus ont de grosses tétines pour bien adhérer aux revêtements incertains des chemins, un sabot moteur est posé, et le ou les pots et silencieux d'échappements sont généralement relevés.

Icônes de l'époque, les marques Harley-Davidson, Triumph, BSA, Norton et d'autres sont définitivement rentrées dans l'Histoire en partie grâce à ce mouvement. Les Japonais et les Allemands ne sont pas restés en dehors du mouvement mais ont plutôt fait figure d'alternatives face aux industries motocyclistes anglaises et américaines, ce qui ne les a pas empêchés de produire des machines redoutables d'efficacité dont on se souvient encore...


On croise des cafra désormais même dans les films et les séries ! Ici, dans The Walking Dead, Daryl Dixon chevauche une Triumph faisant très sérieusement penser à un cafe racer "chopperisé"/"scramblerisé". Ce n'est pas un custom: la moto n'est pas clinquante, n'a pas de chrome, elle est très dépouillée et a un aspect sale un peu "brat style". De plus, dans certains épisodes, on peut la voir équipée de pneus cross ! Un mélange de genres quoi.


Mais il est tard et je me vois mal faire un véritable exposé sur les cafe racers et leurs cousins, alors je vais me contenter de vous laisser quelques belles images. Enjoy.



















Expérience perso: quel alcool pour une soirée ?

Yo. Je viens tout juste de rentrer de soirée là, donc pour me tenir éveillé, je vais essayer de vous écrire un p'tit article plutôt utile (ou inutile, ça dépend du point de vue), sans trop de fautes d'orthographe. ;)

Alors, quel alcool amener en soirée ? Vaste sujet qui souvent fait débat, notamment sur les forums du 15-18 et du 18-25. Vous savez bien du genre de soirée dont je parle, là où on se ramène alors qu'on est pas invité, la soirée viteuf entre potes, où on vient en jean's tee-shirt et mal rasé, la soirée sans budget, la soirée classique quoi.
Alors, que ramener d'intéressant à picoler lorsqu'on est sans le sous ?




Il existe trois grandes catégories de boisson alcoolisées très classiques:
les bières et vins - les liqueurs, alcools < 30° - les alcools forts

Pour les vins et bières, c'est plutôt simple: on privilégie les économies avant tout. Alors, on donne la priorité aux bières de clodo bien dégueu, vendues à l'unité, style Amsterdam Maximator ou Atlas. En gros, le plus fort et le moins cher possible. Sans tomber dans la décadence de la "bière de clodo" et dans l'optique d'acheter en plus grosses quantités pour avoir à disposition une boisson soft et désaltérante, la Carlsberg est un très bon compromis: pas trop forte, c'est une bière très classique, qui reste meilleure qu'une 1664 pour un prix au pack quasi-égal.
Pour le vin, en général, éviter le rouge. Ça, c'est fait pour manger de la barback avec, aucun intérêt à être bu seul. Le blanc rend vite malade. Mon avis perso est qu'il vaut mieux se concentrer sur les vins rosés et les clairets. Ma préférence va aux clairets, médaillés de préférence: c'est pas cher, et parfois, c'est vraiment bon (presque toujours si médaillé).


Les liqueurs et alcools < 30°, je n'aime pas ça. L'un des seuls trucs que je tolère c'est la manzana (que je coupe à la vodka, en passant, ça relève le goût). Ça reste cher  cependant, et c'est à mon avis la catégorie d'alcools possédant le moins d'intérêt dans l'optique de se murger, ou même pour se mettre bien à pas cher, c'est insuffisant.


Ah, les alcools forts ! Mes préférés. N'y voyez aucune vantardise de ma part, mais comme mon intestin tolère assez mal la binouze, que je n'abuse en général pas trop du vin (qui reste pour moi, quel qu'il soit, réservé à la table), et que je n'apprécie pas particulièrement les liqueurs, c'est normal en fait. Les trois rois de la catégorie sont: la vodka, le whisky et le rhum.
Je ferai exception de la tequila qui reste vraiment spéciale. Perso, à part en paf, rien à faire, ça passe pas.


La vodka cumule plusieurs avantages: on peut la couper avec quasi n'importe quoi, ça passera. On peut la boire pure après avoir été placée un bon moment au congélo: c'est de l'eau. C'est l'alcool qui plaira à tout le monde, pour un prix raisonnable, (entre 10 et 15 euros, inutile de mettre plus, vraiment, sauf si c'est une bonne vodka).
Ma préférée est sans conteste la Poliakov. Le meilleur rapport qualité/prix du bas de gamme.  J'évite comme la peste l'Absolut et l'Eristoff, la première étant trop chère et trop "marketing", la seconde n'étant bonne qu'à déboucher les chiottes.

Diluants classiques: Kas, Ice Tea, jus d'orange... Possibilité de faire une "vodka tagada" (attention c'est vicieux).


Ici, une préparation à base de vodka et de fraises tagada.


Le whisky. Celui-ci permet d'éviter qu'on vous taxe trop souvent la bouteille: la plupart des femmes n'aiment pas ça, et les gens qui n'apprécient pas l'alcool en lui-même ne chercheront pas à en boire. Un goût très caractéristique, il n'est pas l'adage de tout le monde. C'est personnellement mon préféré, sauf quand il est trop dégueulasse, où là n'importe quelle vodka fera la différence. Passe très bien pur ou bien avec quelques glaçons, ou encore coupé au Coca. Le Jack Da' et le William Peel représentent pour moi, en terme de whiskies pas cher, ce qui se fait de plus sympa. Les Grant's et Label 5 sont réellement immondes, en revanche. Et gardez l'Aberlour pour votre mini bar, ça n'aurait aucun intérêt en soirée ! ;)
Son défaut principal reste son prix, sa capacité à procurer de grosses gueules de bois le lendemain, ainsi que son côté sectaire.

Diluants classiques: Coca-Cola. Le reste est plus risqué, mais libre à vous de tenter !^^


Une bouteille de Jack Daniel's n°7, le plus connu.


Le rhum est le plus exotique des trois. C'est aussi celui qui titre en général le plus fort volume d'alcool. Tout simplement le meilleur pour se lancer dans la préparation de cocktails, amha. C'est aussi son plus grand défaut: il faut en vouloir pour le boire pur, c'est plutôt une boisson d'homme, et son côté sucré ne cache absolument rien. C'est un alcool à emmener si vous êtes sûr qu'un grand nombre de diluants et/ou ingrédients seront présents, au risque de devoir ramener la bouteille (pleine) chez vous le lendemain (un bon plan pour les radins). À choisir la marque et le type de rhum pour une soirée classique, je me pencherai sur du Rhum Charette, encore moins cher qu'une vodka, ou bien sur du Run Cubain style Havana Club, lui plus cher qu'une vodka. Ce dernier n'a cependant d'intérêt que si vous êtes certain de vouloir faire des cocktails.

Diluants classiques: tous les jus de fruits se marient à peu près bien avec, sinon Coca ou véritables cocktails.


 
Le mojito, l'un des cocktail les plus célèbres à base de run cubain.




Voilà. Vous avez ici mon analyse perso des alcools consommés durant les soirées "tranquilles-posey". Si ça peut vous aider dans un quelconque choix, et bien tant mieux, sinon tant pis, enfin bref, j'avais juste envie d'écrire un truc...^^











19/10/2013

Pourquoi j'aime les objets de caractère, les trucs solides et rustiques au charme certain, en un mot, les vieux machins.

Voilà, premier billet, et ça commence déjà: autant vous prévenir tout de suite, je suis un gros râleur, un genre de croisement entre Mr. Burns et le mercenaire obèse de Tarzoon (dieu merci je suis jeune et mince). Ouais, pire encore que votre mère passant l'aspirateur. Donc, forcément, en ces temps de mondialisation, devant la chinoiserie ambiante (n'y voyiez aucun racisme, je n'irai pas ailleurs acheter mon thé, mon alcool de riz ou mon feu d'artifice), je me vois contraint d'écrire un petit billet, pour ainsi dire presque d'humeur.

En effet, qui n'a jamais été confronté au jean qui perd ses fils à qui mieux-mieux, au super-méga-tropkikoolol smartphone dont l'écran se pète sans raison apparente, à la montre qui prend l'eau, au stylo qui fuit après une heure d'utilisation, au couteau "stainless steel" qui rouille, à l'ordi dont les composants crament régulièrement, aux chaussures s'avérant biodégradables au bout d'une semaine (je doute d'un soudain élan écologiste), au plastique tout sec et tout fendu, à la moto qui perd ses pièces sur la route, et, pour finir, et parce qu'il est humainement impossible et totalement déprimant de dresser une liste exhaustive de toutes ces saloperies, à la contrefaçon ?

Alors bien sûr, on va sans doute me traiter de vieux con, de nanti (parce que, bon, hein, pour acheter autre chose que du chinois faut avoir les moyens non mais quoi !), de conservateur, de protectionniste, de traditionaliste, et sûrement aussi de crétin. Et je n'en ai rien à foutre. Pourquoi ?
Et bien, c'est très simple:
. Pour être un vieux con, il faut être vieux. Je suis jeune.
. Pour être un nanti, il faut être riche. Par rapport à la population française, je ne suis qu'un humble membre de la classe moyenne, de celle qui tend à s'appauvrir. Et par rapport au reste du monde, où vivent les plus pauvres, je suis richissime. Voilà donc un argument tout à fait inutile et ridicule.
. Pour être conservateur, il faut avoir quelque chose à conserver. Pas de chance, au vu de ce qui se fait aujourd'hui, à part dans l'industrie du luxe, il n'y a plus rien. Rien d'abordable et de bien construit pour le gars lambda qui désire seulement de bonnes chaussures pour crapahuter, ou bien un blouson qui lui dure 10 ans.
. Pour être protectionniste, il faut être chauvin à l'extrême. Ce n'est pas mon cas. Je n'ai aucun état d'âme à acheter Américain, Allemand, Italien, Mexicain, Anglais, Russe, Australien, Marocain ou Japonais, lorsque que je connais la véritable valeur du produit (valeur à l'utilité et non valeur économique). Tant que le rapport qualité prix est bon, pas de regret. C'est assez simple en fait: si le fabricant ne se moque pas du client, il n'y a pas de souci.
. Suis-je traditionaliste ? Tout dépend de ce qu'on entend par là. Si être traditionaliste signifie aimer sortir son Barbour sous la pluie, ou bien porter un smoking taillé sur mesure par un artisan du coin pour les grandes réceptions, alors oui, je suis traditionaliste. J'aime les objets "vivants", qui racontent une histoire, qui s'associent à leur porteur. Si par traditionaliste, on entend "buté", ou le mec qui refuse d'admettre qu'un autre produit ou qu'une autre façon de faire puisse être équivalente ou supérieure à ce qu'il connaît déjà, alors non, non et non, je ne suis pas traditionaliste.


Pour continuer et conclure ce billet dans une ambiance plus joviale, je vous propose de découvrir, ou de re-découvrir, ces pourtant nombreux objets porteurs de charme et souvent d'excellence:


Le Barbour:
Malheureusement aujourd'hui fabriqué en Inde, mais scrupuleusement contrôlé dès son arrivée en Angleterre, ce mythique manteau reste ce qui se fait de plus efficace contre la pluie. Idéal dans les années 50's, 60's et 70's pour les motards, il est aujourd'hui préconisé pour la chasse, devant son manque de protections en cas de chute.

Steve McQueen en Barbour International.

Les montres mécaniques, Suisses ou Japonaises (pour la plupart):
Je possède personnellement une Seiko Diver's 200 SKX007J sur Super Oyster 2. Une valeur sûre, entièrement fabriquée au Japon, l'une des montres mécanique les plus solide au monde, avec les Vostok Amphibian (russe), les Rolex Submariner (suisse), les Omega Speedmaster (suisse), les Orient Mako (japonais), les Matwatches (français). On en trouve à tout les prix, il suffit de bien chercher. Si vous voulez du quartz et du solide, j'ai possédé une Festina durant 8 ans qui fonctionne toujours, mais ils ont aujourd'hui, eux aussi, vendu leur âme aux chinois et la qualité a bien baissé. Je ne citerai donc que l'extrême de la solidité en matière de montres à quartz: la gamme Gshock de Casio.

Seiko SKX007J-SO.


Les couteaux du monde:
En matière de couteau, on trouve de tout, à tout les prix, dans tout les pays. Citons le Douk Douk (mon miens) et l'Opinel en France, les plus classiques, le haut de gamme Cold Steel chez les Américains, la machette Tramontina au Brésil. La liste est bien trop longue. C'est le domaine où cependant j'ai toujours été extrêmement déçu par les chinoiseries... À bon entendeur.

Douk-Douk, petit et grand modèle.


Le Zippo:
Sans conteste l'un de mes objets préférés. Simple, classe, qui sent bon l'essence, fiable, pas si cher que ça. Je ne troquerai pas le miens pour un Dupont. Un investissement parfaitement justifiable Made In USA.

 Un Zippo.


Les chaussures Galibier:
Les meilleures chaussures de montagne sont françaises. Oui oui. Jamais égalées, pour un prix certes pas donné, mais comme le Zippo, en regard des services rendus, au final, c'est plutôt des économies.

Une paire de Galibier.


Le cuir Perfecto:
Blouson mythique, le modèle de chez Schott, l'original (l'un des plus cher, en passant... ), est toujours fabriqué aux US.

 Marlon Brando a immortalisé le mythe.



Les jean's Edwin:
Fabriqués au Japon, pour une trentaine d'euros de plus qu'un Levi's, vous aurez une bien meilleure qualité. La difficulté étant d'en trouver.

 Un jean's Edwin.




La liste est longue. Je vous laisse le soin de vous documenter sur ces objets, si comme moi, vous prenez votre pied non pas en ayant 10 000 fringues (de merde) différentes chez vous, mais en ayant plaisir à revêtir des vêtements aussi durable que leur mythe. Il est important pour moi de pouvoir compter sur les outils qui m'accompagnent au quotidien: si je veux couper une ceinture de sécurité en cas d'urgence, ou plus simplement un morceau de saucisson ou un bout de ficelle, mon couteau doit répondre présent, et le manche ne doit pas me rester entre les mains, la lame doit être solide et efficace. Et si, par la même occasion, ça me permet de ne plus être, ou en tout cas un peu moins, un mouton de la société de consommation, alors je dis oui !
Pour l'exemple, après 4 ans d'utilisation, j'ai toujours autant de plaisir à utiliser mon Zippo, même si je fume moins. ;)